Jean-Marc Jancovici

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2024

Le gaz liquéfié (GNL), dans lequel TotalEnergies notamment investit beaucoup, a aussi un impact sur le réchauffement climatique, pouvant même parfois "saper le bénéfice d'une conversion du charbon vers le gaz", a mis en garde lundi la climatologue Valérie Masson-Delmotte, interrogée au Sénat.
L’année 2023 a été la plus chaude jamais mesurée. Si 2024 ne bat pas ce record, elle n’en sera pas loin. Pendant ce temps, les sommets mondiaux sur le climat – les COP – avancent trop lentement. Ce serait pourtant tout bénéfice si on accélérait, juge la climatologue française Valérie Masson-Delmotte.

2023

Les deux climatologues estiment, dans une tribune au « Monde », que nous sommes encore très loin du « plan d’action solide » annoncé par le président de la Conférence des parties pour maintenir « à portée de main » l’objectif de l’accord de Paris.
Si des points de bascule du climat sont envisageables, le contrôle du réchauffement climatique reste possible, explique Valérie Masson-Delmotte. À condition d’un engagement politique dans le bon sens.
La paléoclimatologue a passé le relai en juillet dernier pour la co-présidence du groupe 1 du GIEC. Visite dans son laboratoire à l’université de Paris Saclay pour parler de son retour à la recherche fondamentale, de la situation climatique et de la « tiédeur » de l’action politique selon elle.
Mégafeux, canicules toute l’année ou inondations dantesques : les catastrophes naturelles se multiplient alors que le réchauffement climatique n’est que de 1,1°C au-dessus des températures préindustrielles. D’où cette question : à partir de 2°c, le climat risque-t-il de s'emballer ? Pour y répondre nous recevons Valérie Masson Delmotte, paléoclimatologue, chercheuse au CEA et à l’IPSL, co-présidente du groupe de travail 1 du GIEC consacré aux bases physiques du changement climatique entre 2015 et 2023 et membre du Haut Conseil pour le Climat
A l'occasion de la semaine inaugurale du Diplôme d'Université de l' @UniversiteParisSaclay "Agir pour le climat" organisée par l'Objet Interdisciplinaire AllCAN, Valérie Masson-Delmotte, chercheur au laboratoire LSCE (CEA) en paléoclimat, est venue expliquer les résultats les plus récents du GIEC ainsi que les perspectives qu'ils ouvrent.
Une majorité de Français se dit aujourd’hui très préoccupée du changement climatique. Mais la conversation sur le sujet est parfois difficile ou caricaturale face à l’ampleur du problème et sa complexité. Comment parler du climat de manière utile et efficace dans les conversations autour de nous ? Quels sont les bons exemples à utiliser, les points sur lesquels insister ? Comment ne pas tomber dans les pièges qui rendent le débat stérile ? Valérie Masson-Delmotte est chercheuse en sciences du climat à l’université Paris-Saclay. Elle est coprésidente du groupe 1 – qui étudie les aspects scientifiques du changement climatique – du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations unies depuis 2015. Elle est également membre du Haut Conseil pour le climat. Elle a notamment été invitée à former les ministres du gouvernement d’Elisabeth Borne aux enjeux climatiques au début de septembre.
Alors que la première semaine de juillet a été la plus chaude jamais enregistrée, selon l'Organisation météorologique mondiale (l'OMM), la paléo-climatologue Valérie Masson-Delmotte alerte sur l'urgence d'agir. Pour elle, il faut que les responsables politiques continuent de respecter leurs engagements.
Dans un tweet, la députée EELV Sandrine Rousseau a assuré qu’il faisait « 60 degrés en Espagne » , de quoi faire réagir plusieurs experts du climat.
Dans cette tribune, la climatologue Valérie Masson-Delmotte rappelle l’évidence : les contestations des écologistes ne sont pas des menaces à l’ordre public. C’est bien le terrible réchauffement planétaire qui l’est.
La coprésidente du Giec a dénoncé, avec « gravité », les menaces de dissolution pesant sur le collectif écologiste « Les Soulèvements de la Terre ».
Inégalités face aux risques, parité dans les comités de rédactions scientifiques, politiques publiques permettant des rééquilibrages… Valérie Masson-Delmotte revient sur quelques questions sur le genre et l’inclusivité en lien avec le changement climatique.
La paléoclimatologue, coprésidente du groupe I du Giec, revient pour « 20 Minutes » sur la synthèse du sixième rapport d’évaluation du Giec et sur la fin du cycle que ce rapport achève pour le groupe d’experts
Valérie Masson-Delmotte est scientifique du climat. Depuis 2015, elle est co-présidente du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec). Alors que le Giec vient de clore ce cycle avec la synthèse de tous les rapports publiés depuis 2018, la scientifique raconte à Vert les principales leçons de ce document majeur pour comprendre les bouleversements passés et futurs, et les moyens d’agir.
Aujourd’hui je vais te parler de la synthèse du rapport du GIEC de 2023 avec Valérie Masson-Delmotte présidente du rapport 1 du GIEC et Jean-Pascal van Ypersele, physicien et climatologue ancien Vice-président du GIEC.
Un livre coup de poing qui décrypte les discours autour du climat, de la politique à l’économie, en passant par les médias et les réseaux pour dénoncer leurs écueils et bâtir un récit raisonné, tourné vers l’action.
La paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte définit son engagement par une diffusion des connaissances scientifiques. Raison pour laquelle elle s’investit depuis 2015, sans compter ses heures, au sein du Giec. [Série 2/4] [Série 2/4] Vous lisez l’enquête « Crise écologique : la révolte des scientifiques ». Pour ne pas rater le prochain épisode, abonnez-vous à notre lettre d’info. Si la patience avait un visage, ce serait sans doute le sien. La paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte semble dotée d’un (...)
Claude Allègre n’est pas n’importe quel climatosceptique. C’est probablement l’une des personnes qui a le plus semé le doute quant à la responsabilité humaine dans le changement climatique. En 2010, un débat a lieu à Paris entre Claude Allègre et Valérie Masson-Delmotte, alors paléoclimatologue et déjà une scientifique spécialiste du climat reconnue. Claude Allègre y étale son arrogance, enchaînant tour à tour les arguments d’autorité et les arguments climatosceptiques.

2022

Face à l’inertie politique, certains scientifiques n’hésitent plus à s’engager de façon plus militante. Une attitude qui fait débat, mais qui traduit une inquiétude partagée parmi leurs pairs. Valérie Masson-Delmotte témoigne.
Dans ce nouvel épisode du podcast « Chaleur humaine », la climatologue Valérie Masson-Delmotte partage son expérience de pédagogie sur les enjeux climatiques auprès de ministres, de grands patrons ou de lycéens.
Quels sont les liens entre changement climatique, santé mentale et bien-être?
Les grandes métropoles ont tout intérêt à partager leurs expériences afin d’élaborer une vision à long terme contre le dérèglement du climat, estime la paléoclimatologue et coprésidente du groupe de travail 1 du GIEC.
Sollicitée pour entrer au gouvernement, la coprésidente du groupe 1 du GIEC est devenue incontournable, alertant tant sur le dérèglement du climat que sur l’urgence à agir.
Aurélien Barrau au Medef, Valerie Masson-Delmotte face au gouvernement, la semaine de rentrée des dirigeants économiques et politiques s’est faite sur le mode alerte générale. Les deux scientifiques, dans des styles différents, ont résumé l’urgence climatique et environnementale. Leurs discours largement diffusés sur les réseaux sociaux, restent en attente d’une réponse à la hauteur. Le premier conseil de défense sur l’énergie, organisé le 2 septembre, a appelé à une mobilisation générale autour d’une sobriété choisie, reposant sur les démarches volontaires des entreprises comme des particuliers.
C l’hebdo - Invitée : Valérie Masson-Delmotte, climatologue, membre du bureau du GIEC, invitée vedette du séminaire gouvernemental de mercredi 31/08/22
Sommité mondiale de sa discipline, la climatologue Valérie Masson-Delmotte a depuis plusieurs années intégré l'équipe du GIEC, qui ne cesse d'informer dirigeants et grand public sur la réalité du dérèglement climatique. Dans une interview accordée à Yahoo, la lanceuse d'alerte fait le point sur la situation actuelle et esquisse des pistes d'actions pour s'adapter aux évolutions en cours.
En toute transparence, voici les points clés de ma présentation #climat au séminaire de rentrée gouvernemental
Plus de cinquante spécialistes des questions environnementales, parmi lesquels Samuel Cazenave, Jean Jouzel, Valérie Masson-Delmotte, Serge Tisseron ou Ophélie Gaillard, expliquent, dans une tribune au « Monde », qu’il faut réviser les attributions du ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse, qui ne font aucune mention à l’éducation à la transition écologique.
Les habitants d’Europe de l’Ouest sont menacés directement par le réchauffement climatique, assure Valérie Masson-Delmotte, chercheuse en sciences du climat et coprésidente d’un des groupes de travail du GIEC, ce groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat.
La climatologue Valérie Masson-Delmotte pense que la prise de conscience et l’action contre le réchauffement « montent en puissance », mais que la réponse politique reste loin du changement d’échelle nécessaire.
En 2019, environ 15% des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine provenaient du secteur des transports. La croissance moyenne de ces émissions dues aux transports a été constante entre 2010 et 2019, d’environ 2% par an. En France, le poids des transports est de 30%
Dans son classement annuel, le magazine américain intègre la scientifique Valérie Masson-Delmotte, membre du Giec, et salue sa contribution à l’étude du «plus grand péril que la Terre ait jamais connu: le changement climatique».
Voici, pour les francophones, un long fil qui présente les points clés que j’ai retenus du rapport du groupe III du GIEC d’avril 2022 sur l’état des connaissances scientifiques vis-à-vis de l’atténuation du changement climatique...
Que nous raconte le dernier volet du rapport du GIEC du groupe 3 ? Nous te résumons ici l'essentiel de 3000 pages avec des invités de luxe et le tout comme d'habitude rendu à la sauce LIMIT !
Valérie Masson-Delmotte est paléoclimatologue. Elle est directrice de recherche au CEA et coprésidente du groupe N°1 du GIEC depuis 2015. Elle nous fait l'honneur d'échanger avec nous sur le changement climatique dans le cadre de la sortie du Rapport du Groupe 3 du GIEC.
Face au changement climatique, pourquoi est-ce si difficile de se projeter dans l'avenir ? Sur quels leviers jouer pour mettre en œuvre des réponses ? Une rencontre entre Valérie Masson-Delmotte, climatologue, directrice de recherches au CEA, co-présidente du groupe de travail 1 du GIEC et Laurent Gaudé, écrivain, auteur de "La Mort du roi Tsongor", "Le Soleil des Scorta", "Ouragan"... Animé par Mathieu Vidard, producteur de l’émission "La Terre au carré" sur France Inter.

2021

Cet été, le GIEC a rendu son dernier rapport. Le réchauffement de la planète pourrait atteindre le seuil de +1.5° autour de 2030, soit avec 10 ans d’avance... Les explications de Valérie Masson-Delmotte, climatologue, coprésidente du premier des trois groupes de travail du Giec.
Début août, le Giec, Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, a publié le premier volet de son sixième rapport. L’éclairage de Valérie Masson-Delmotte, coprésidente du Groupe de travail I du Giec, auteur de ce volet.
Thinkerview reçoit Valérie Masson-Delmotte et Pierre Larrouturou.
La chercheuse copréside le groupe de travail du Giec à l’origine du rapport, publié lundi 9 août, qui annonce un réchauffement planétaire encore plus rapide que prévu.
avec Valérie Masson-Delmotte, Co-présidente du groupe de travail N°1 du Giec.

2020

2019

2018

2016

Dans le contexte des intempéries récentes, on entend dans les médias tout et n’importe quoi sur les relations entre précipitations record et changement climatique. Comment relier un évènement ponctuel, lié à la situation météorologique, et des changements sur le long terme ?